Chaque semaine, je reçois un message de Geneanet me signalant que des données sur le père ou la mère d’un ancêtre n’apparaissant sur ma base viennent peut-être d’être publiés sur GeneaNet. Le plus souvent, ce sont des informations erronées qui viennent d’être recopiées, par exemple sur les prétendus parents de Gilles GOGIBUS (voir l’article publié le 16/01/2013). Cette semaine, il y avait toutefois deux signalements qui ont retenu mon attention et concernant deux de mes ancêtres, Pierre BECQUET, de Quelmes, et Anne Françoise FAVIER, mère d’Antoine Albert STOPPE, de Quernes. Elles étaient publiées par un généalogiste, Pierre ROUSSEL, qui précise toujours quelles sont ses sources.
Je me suis donc rendu sur son site. En ce qui concerne Pierre BECQUET, il citait un acte du Gros de Saint-Omer, dans lequel il était indiqué un Pierre BECQUET, fils de feu Martin. Lors de mes premières recherches, je n’avais pas pris en compte cet acte. Depuis, je n’ai rien trouvé sur l’ascendance de Pierre BECQUET. Il se pourrait qu’il soit effectivement fils de Martin. J’ai donc introduit cette filiation dans ma base Geneanet en prenant soin de préciser qu’il s’agit d’une hypothèse. J’ai aussi trouvé les parents de Martin, Gilles BECQUET et Catherine LEQUIEN. A noter qu’il y avait aussi un autre Gilles BECQUET, marié à Françoise LE CAT. Dans les relevés d’Yves LEMAIRE, il y avait un acte donnant les parents de Catherine, Jan et Jenne LENGLET. Dans les Mélanges Généalogiques de Michel CHAMPAGNE, la famille LENGLET est étudiée ; mais cette Jenne LENGLET n’apparaît pas.
Quant à la filiation d’Anne Françoise FAVIER, Pierre ROUSSEL s’appuie aussi sur des actes du Gros relevés par Yves LEMAIRE ; mais, il y avait plusieurs FAVIER à Quernes. Je vais par conséquent envoyer un message à Pierre ROUSSEL pour plus de précisions.
En généalogie, il importe de faire la distinction entre les certitudes et les hypothèses et, avant de recopier une donnée de s’assurer de sa validité. Il ne fut pas oublier le proverbe : ‘Il y a plus d’un âne qui s’appelle Martin ...’
Je me suis donc rendu sur son site. En ce qui concerne Pierre BECQUET, il citait un acte du Gros de Saint-Omer, dans lequel il était indiqué un Pierre BECQUET, fils de feu Martin. Lors de mes premières recherches, je n’avais pas pris en compte cet acte. Depuis, je n’ai rien trouvé sur l’ascendance de Pierre BECQUET. Il se pourrait qu’il soit effectivement fils de Martin. J’ai donc introduit cette filiation dans ma base Geneanet en prenant soin de préciser qu’il s’agit d’une hypothèse. J’ai aussi trouvé les parents de Martin, Gilles BECQUET et Catherine LEQUIEN. A noter qu’il y avait aussi un autre Gilles BECQUET, marié à Françoise LE CAT. Dans les relevés d’Yves LEMAIRE, il y avait un acte donnant les parents de Catherine, Jan et Jenne LENGLET. Dans les Mélanges Généalogiques de Michel CHAMPAGNE, la famille LENGLET est étudiée ; mais cette Jenne LENGLET n’apparaît pas.
Quant à la filiation d’Anne Françoise FAVIER, Pierre ROUSSEL s’appuie aussi sur des actes du Gros relevés par Yves LEMAIRE ; mais, il y avait plusieurs FAVIER à Quernes. Je vais par conséquent envoyer un message à Pierre ROUSSEL pour plus de précisions.
En généalogie, il importe de faire la distinction entre les certitudes et les hypothèses et, avant de recopier une donnée de s’assurer de sa validité. Il ne fut pas oublier le proverbe : ‘Il y a plus d’un âne qui s’appelle Martin ...’