Cette semaine, je voulais aller à la bibliothèque de Saint-Omer ; mais, mardi, une alerte Geneanet m’a amené à effectuer une recherche sur ma branche picarde. Il y avait une donnée nouvelle sur un des sites que je connaissais. Cette information m’a amené à consulter les BMS en ligne des Archives Départementales de l’Oise : l’ancêtre potentiel apparaissait bien comme précisé sur Geneanet comme témoin de mariage ; mais, pour moi, ce n’était pas suffisant pour en déduire qu’il était le père de la mariée. J’ai alors parcouru le registre des BMS pour tenter d’identifier les autres parents. Et la conclusion à laquelle je suis arrivé était que le témoin était son frère, ce qui m’a permis par le biais de la fratrie de retrouver les parents. J’ai alors averti la personne à l’origine de l’information et qui, après avoir regardé à nouveau les BMS de l’Oise, m’a répondu qu’elle arrivait aussi aux mêmes conclusions.
J’ai aussi reçu aussi, via Geneanet, le message d’un généalogiste avec lequel j’avais déjà correspondu. Il venait de trouver sur les archives en ligne du Pas-de-Calais un acte de sépulture qui allait à l’encontre d’une donnée figurant sur ma base généalogique concernant Jenne LEBORGNE, femme de Jean CHUETTE. J’avais supposé que Jenne était fille de Louis et de Marguerite POIGNART. Cette hypothèse était erronée : la fille de Louis est décédée en janvier 1696 (Aire - St-Pierre) et avait été mariée successivement à François MANNESSIER et Anthoine LE BON (l’acte de sépulture était exceptionnellement riche en informations). Je n’étais pas certain de cette filiation. Effectivement. Jenne LEBORGNE, femme de Jean CHETTE, pourrait être l’autre Jenne LEBORGNE figurant sur les tables d’Aire (Voir sur le site de Jérome Engrand : http://jerome.engrand.pagesperso-orange.fr/ ).
Le travail le plus important a porté toutefois sur un manuscrit de la Bibliothèque de Saint-Omer et qu’il est possible de consulter sur son site : le Cartulaire de St-Bertin de Charles de Witte. Il y a dans ce manuscrit la copie de plusieurs rapports de dénombrement d’un fief, Cambreny, se trouvant entre Roquetoire et Cohen. Dans le rapport de 1561, j’ai retrouvé les patronymes de quelques-uns de mes ancêtres originaires de Roquetoire. L’un d’entre eux est mentionné dans le rapport : Agnieulx BABELIN. Il tenait une terre qu’il avait acquis. Parmi les patronymes, il y avait DE LE HAYE. Or, mon ancêtre Nicolas DELEHAY, était de Cambreny (voir le contrat de mariage avec Marie FLECHIN en 1679). Son père Anthoine avait été bailli de Cambreny (Cm N° 66 du 29/4/1666, passé à Aire - relevé du Gros de St-Omer par Yves LEMAIRE). Il n’est pas évident d’établir le lien entre ces DELELEHAY et ceux du rapport de 1561 (plus d’un siècle d’écart !). De plus plusieurs DE LE HAYE apparaissent dans le rapport de 1561. Mais, ce qui m’a intéressé et intrigué est de constater que dans le rapport de 1561, figurent des DE LE HAYE, dit Le Machon, alors que sur le rapport de 1519, ce sont des MACHON (ou MASSON) qui apparaissent. Confusion entre patronyme et sobriquet ? Voir
http://www.bchovaux.fr/data/Roquetoire/Cartulaire-Roquetoire-1.pdf
J’ai aussi reçu aussi, via Geneanet, le message d’un généalogiste avec lequel j’avais déjà correspondu. Il venait de trouver sur les archives en ligne du Pas-de-Calais un acte de sépulture qui allait à l’encontre d’une donnée figurant sur ma base généalogique concernant Jenne LEBORGNE, femme de Jean CHUETTE. J’avais supposé que Jenne était fille de Louis et de Marguerite POIGNART. Cette hypothèse était erronée : la fille de Louis est décédée en janvier 1696 (Aire - St-Pierre) et avait été mariée successivement à François MANNESSIER et Anthoine LE BON (l’acte de sépulture était exceptionnellement riche en informations). Je n’étais pas certain de cette filiation. Effectivement. Jenne LEBORGNE, femme de Jean CHETTE, pourrait être l’autre Jenne LEBORGNE figurant sur les tables d’Aire (Voir sur le site de Jérome Engrand : http://jerome.engrand.pagesperso-orange.fr/ ).
Le travail le plus important a porté toutefois sur un manuscrit de la Bibliothèque de Saint-Omer et qu’il est possible de consulter sur son site : le Cartulaire de St-Bertin de Charles de Witte. Il y a dans ce manuscrit la copie de plusieurs rapports de dénombrement d’un fief, Cambreny, se trouvant entre Roquetoire et Cohen. Dans le rapport de 1561, j’ai retrouvé les patronymes de quelques-uns de mes ancêtres originaires de Roquetoire. L’un d’entre eux est mentionné dans le rapport : Agnieulx BABELIN. Il tenait une terre qu’il avait acquis. Parmi les patronymes, il y avait DE LE HAYE. Or, mon ancêtre Nicolas DELEHAY, était de Cambreny (voir le contrat de mariage avec Marie FLECHIN en 1679). Son père Anthoine avait été bailli de Cambreny (Cm N° 66 du 29/4/1666, passé à Aire - relevé du Gros de St-Omer par Yves LEMAIRE). Il n’est pas évident d’établir le lien entre ces DELELEHAY et ceux du rapport de 1561 (plus d’un siècle d’écart !). De plus plusieurs DE LE HAYE apparaissent dans le rapport de 1561. Mais, ce qui m’a intéressé et intrigué est de constater que dans le rapport de 1561, figurent des DE LE HAYE, dit Le Machon, alors que sur le rapport de 1519, ce sont des MACHON (ou MASSON) qui apparaissent. Confusion entre patronyme et sobriquet ? Voir
http://www.bchovaux.fr/data/Roquetoire/Cartulaire-Roquetoire-1.pdf