Après le déménagement, j’ai pu reprendre les recherches et les travaux que j’avais en cours. Je n’avais toutefois pas interrompu les recherches généalogiques. Et, chaque semaine je reçois un courriel de Geneanet, le site Internet sur lequel se trouve mon arbre généalogique. Ce courriel signale les bases qui viennent d’être modifiées et sur lesquelles je suis susceptible de trouver de nouveaux ancêtres. J’ai ainsi pu découvrir quelques nouveaux ancêtres en Picardie. Il y a toutefois un grand nombre d’informations erronées.
Pour mes branches d’Artois de ma généalogies, peu de registres remontent au début du 17ème, et les registres anciens, qui ont été préservés des destructions, comportent des lacunes (certains des registres ne sont d’ailleurs pas des originaux, mais des copies). Il faut donc travailler sur d’autres archives, en particulier les actes notariés et les cueilloirs ou terriers. En ce qui concerne les actes notariés, un fonds important est conservé à la Bibliothèque de Saint-Omer, le Gros des notaires de Saint-Omer qui comporte des copies d’actes passés à Saint-Omer et aussi dans d’autres villes d’Artois (Aire, Lillers, Laventie...). Ph. DERIEUX et Yves LEMAIRE ont relevé une partie des actes. Il reste toutefois un grand nombre d’actes à relever. A l’exception de quelques familles, il est toutefois difficile à travers les actes notariés de reconstituer les différentes branches généalogiques. J’ai toutefois quelques branches dans plusieurs paroisses, Ecques, Cléty, Remilly et Pihem, dans lesquelles les chanoines de Saint-Omer avaient des possessions. Et, les cueilloirs des chanoines sont toujours conservés à la Bibliothèque de Saint-Omer. S’il y a parfois des données précises dans ces cueilloirs, X, fils d’un tel, il faut souvent reconstituer la liste des tenanciers qui se sont succédés sur différentes parcelles et faire des hypothèses sur les liens familiaux en se méfiant des pièges de l’homonymie. De temps en temps, je suis amené à faire évoluer certaines de mes hypothèses.
Sur ma base, je fais apparaître un avertissement dont la dernière rédaction est
Attention! Certaines d'entre elles sont des hypothèses de travail. Merci de ne pas les recopier sans m'avoir préalablement consulté.
Je suis très peu contacté. Pourtant, mes données sont souvent reprises et sont recopiées. Certains sur Geneanet constituent des bases de dizaines de milliers de noms, voire des centaines de milliers. De telles bases ne peuvent résulter de recherches personnelles et ne peuvent être correctement mises à jour. Je préfère consulter des bases qui se limitent à présenter les ascendances personnelles et quelques collatéraux.
Sur ces bases, je constate régulièrement des erreurs. Pour certaines, j’ai pu identifier l’origine de l’erreur, comme par exemple la filiation de Gilles GOGIBUS (une mauvaise interprétation d’un document sur les cueilloirs d’Ecques publié sur mon site http://bchovaux.fr/).
Constituer une généalogie nécessite des recherches et des vérifications, une donnée considérée comme fiable pouvant s’avérer en réalité fausse (j’ai ainsi vu sur un acte de décès du 19ème siècle une indication erronée sur la naissance ; pour s’en apercevoir, il fallait regarder tous les actes concernant ce patronyme). De plus en plus d’informations sont sur Internet. Toutefois, les relevés des associations généalogiques facilitent la recherche. Et, effectuer une recherche dans un centre d’archives ou dans une bibliothèque permet parfois de découvrir un document ou un ouvrage rarement consulté et comportant des informations intéressantes sur un ancêtre.
Pour mes branches d’Artois de ma généalogies, peu de registres remontent au début du 17ème, et les registres anciens, qui ont été préservés des destructions, comportent des lacunes (certains des registres ne sont d’ailleurs pas des originaux, mais des copies). Il faut donc travailler sur d’autres archives, en particulier les actes notariés et les cueilloirs ou terriers. En ce qui concerne les actes notariés, un fonds important est conservé à la Bibliothèque de Saint-Omer, le Gros des notaires de Saint-Omer qui comporte des copies d’actes passés à Saint-Omer et aussi dans d’autres villes d’Artois (Aire, Lillers, Laventie...). Ph. DERIEUX et Yves LEMAIRE ont relevé une partie des actes. Il reste toutefois un grand nombre d’actes à relever. A l’exception de quelques familles, il est toutefois difficile à travers les actes notariés de reconstituer les différentes branches généalogiques. J’ai toutefois quelques branches dans plusieurs paroisses, Ecques, Cléty, Remilly et Pihem, dans lesquelles les chanoines de Saint-Omer avaient des possessions. Et, les cueilloirs des chanoines sont toujours conservés à la Bibliothèque de Saint-Omer. S’il y a parfois des données précises dans ces cueilloirs, X, fils d’un tel, il faut souvent reconstituer la liste des tenanciers qui se sont succédés sur différentes parcelles et faire des hypothèses sur les liens familiaux en se méfiant des pièges de l’homonymie. De temps en temps, je suis amené à faire évoluer certaines de mes hypothèses.
Sur ma base, je fais apparaître un avertissement dont la dernière rédaction est
Attention! Certaines d'entre elles sont des hypothèses de travail. Merci de ne pas les recopier sans m'avoir préalablement consulté.
Je suis très peu contacté. Pourtant, mes données sont souvent reprises et sont recopiées. Certains sur Geneanet constituent des bases de dizaines de milliers de noms, voire des centaines de milliers. De telles bases ne peuvent résulter de recherches personnelles et ne peuvent être correctement mises à jour. Je préfère consulter des bases qui se limitent à présenter les ascendances personnelles et quelques collatéraux.
Sur ces bases, je constate régulièrement des erreurs. Pour certaines, j’ai pu identifier l’origine de l’erreur, comme par exemple la filiation de Gilles GOGIBUS (une mauvaise interprétation d’un document sur les cueilloirs d’Ecques publié sur mon site http://bchovaux.fr/).
Constituer une généalogie nécessite des recherches et des vérifications, une donnée considérée comme fiable pouvant s’avérer en réalité fausse (j’ai ainsi vu sur un acte de décès du 19ème siècle une indication erronée sur la naissance ; pour s’en apercevoir, il fallait regarder tous les actes concernant ce patronyme). De plus en plus d’informations sont sur Internet. Toutefois, les relevés des associations généalogiques facilitent la recherche. Et, effectuer une recherche dans un centre d’archives ou dans une bibliothèque permet parfois de découvrir un document ou un ouvrage rarement consulté et comportant des informations intéressantes sur un ancêtre.