Geneanet est un outil précieux, non seulement comme logiciel de généalogie avec Geneweb , mais aussi la recherche. Même s’il faut être très prudent, il est possible de trouver de nouveaux ancêtres. J’ai ainsi dernièrement fait quelques recherches sur les branches flamandes de mon arbre. Et, j’ai découverts des éléments sur les DE VICQ. J’avais pu remonter aux parents de Pierre Joseph FAGOT, qui s’était marié en 1750 à Heuringhem. L’acte de mariage était difficile à lire, le contrat de mariage donnait le nom de la mère, LEVEQUE. L’acte de décès trouvé dans les registres de Dohem a orienté mes recherches vers Poperinge, en Belgique. Et en consultant les actes de cette commune, j’ai découvert qu’elle était originaire de Merris, paroisse dont les registres les plus anciens sont de 1737.
Et, sur un site de Geneanet, il y avait son décès en 1775 à Bailleul (59). Et, il était indiqué qu’elle était fille d’Antoine. Avec les AD en ligne, j’ai pu de suite consulter l’acte de sépulture : l’acte était très détaillé : il mentionnait qu’elle était veuve de Jean-Baptiste FAGO, originaire de Merris et fille d’Antoine. Il me reste maintenant à trouver le décès de son mari.
J’ai aussi trouvé quelques éléments sur mes branches picardes, par le biais des alertes établies automatiquement par Geneanet sur mon arbre. Là, je fus un peu étonné, il s’agissait d’une donnée que j’avais dans ma base de Picquigny, mais dont je n’avais tenu compte sur mon arbre. Elle concernait la naissance de Jacques BIENDINE. Il se peut qu’ayant trois branches BIENDINE dans mon ascendance, je me sois focalisé sur les deux autres sur lesquelles je suis resté bloqué.
Toutefois, il se pourrait qu’il y ait deux, ou plus, Jacques BIENDINE. Les données issues des registres paroissiaux ne sont pas suffisantes pour établir les liens filiatifs. En poursuivant mes recherches sur les BMS en ligne de la Somme, j’ai trouvé quelques informations complémentaires qui n’apparaissent pas sur Geneanet. Elles proviennent d’une partie des registres que je n’ai pas encore relevée du fait des difficultés de lecture (1598-1650). Les données sont à conforter par d’autres archives (actes notariés, cueilloirs...) ; mais il n’est pas certain qu’il soit possible de trouver des éléments de preuve sur les filiations supposées.
J’ai eu aussi un échange avec le propriétaire d’une base Geneanet à propos d’une filliation qui ne me paraît pas évidente.
Les alertes Geneanet présentent aussi de nombreuses données erronées...