Les DELEPOUVE
Après avoir trouvé qu’Antoine, mari de Pasque DENIS, était fils de Pierre, j’ai recherché ce Pierre. L’indication dont je disposais était ’laboureur à Upen d’Amont’. Et, dans ma base de données, un Pierre, demeurant à Upen d’Amont apparaît dans un relevé de Philippe DERIEUX : il assiste en 1582 avec Jean, laboureur à Dohem, au contrat de mariage de leur frère, Guillaume, avec Franchoise DE MAMEZ. J’ai consulté le contrat à la Bibliothèque de Saint-Omer ; mais, sur le contrat, il n’y avait pas les signatures ou marques des témoins qui m’auraient permis d’être certain qu’il s’agissait du même Pierre. C’est toutefois le seul Pierre d’Upen qui apparaît. S’il est frère de Jean, de Dohem, il pourrait être fils de Marand et oncle de Marand, laboureur à Dohem et fils d’un Jean. Voir note dans ma base de Geneanet
En regardant sur Internet, j’ai constaté qu’il y avait différentes versions sur l’ascendance de Marand 2. Tantôt, il est fils de Jean, tantôt, fils de François. Et, sur une base, il est fils de François. Une étude avait déjà été faite en 1997 sur les familles DELEPOUVE de Dohem et publié dans les Dossiers Généalogiques du Comité d’Histoire du Haut-Pays (Fauquembergues), d’où la proposition faite à cette association de reprendre et compléter cette étude :
http://forum.histoirehautpays.com/index.php?topic=2576.0
Le Gros de Saint-Omer – Année 1610
Je viens de terminer la mise en forme du relevé de la première liasse de l’année 1610. Ce relevé est disponible sur mon site principal, avec celui de l’année 1699.
http://bchovaux.fr/data/Gros/1610_1.pdf
La branche Picarde
Et, pour varier un peu, je suis allé aux Archives Départementales de la Somme. Je n’ai pas trouvé les actes notariés de Cayeux et ai donc travaillé sur les archives de Picquigny, ce qui m’a permis de remonter sur plusieurs branches. Un échange avec un généalogiste de la Somme m’a fait découvrir une belle erreur. J’avais, en effet, lu MADON au lieu de MADOU. Dans un cueilloir que j’avais déjà photographié, mais pas encore exploité (18G38), il y avait très bien calligraphié ‘Des hoirs Firmine Madou’. Et fans l’annuaire téléphonique de la Somme, il n’y a aucun MADON, mais quelques MADOUX.
Au retour, je suis passé par Picquigny, où je me suis arrêté pour une visite guidée du château de Picquigny.
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.