Le 24/12/2012, j’avais publié un article sur un acte du Gros établi à la demande d’une américaine emprisonnée pour dettes à Saint-Omer. Aux Archives Départementales du Pas-de-Calais, j’ai retrouvé un livre venant de la bibliothèque du baron DARD et dans lequel étaient plusieurs plaidoiries de ROBESPIERRE, dont celle prononcée pour la défense de Mary SOMERVILLE.
Ci-dessous deux extraits...
Les Adversaires m’opposent une opposition d’un nouveau genre ; ils prétendent qu’une étrangère non naturalisée ne peut pas jouir du droit d’azile dans sa propre maison ; car les Adversaires, comme on sçait, sont impitoyables envers les étrangers.
Mais pourquoi donc, ces malheureux seront-ils encore dépouillés de ce droit ? Oh ! disent-ils, c’est que les étrangers n’ont point de domicile certain : ils n’ont qu’une demeure passagère ; qu’une résidence précaire.
Autre extrait
Superbes bourgeois de Saint-Omer, à celui d’hommes qui ce titre a fait oublier, ...